Besoin d’air, la herse s’enfonce dans le roncier de la planète tête. Comment tenir sans perpétuellement mentir ; elle ment aux paires et tue l’impaire qui la protège. Le siège en liège s’écroule dans la houle. La foule l’angoisse comme une poisse visqueuse qui l’aspire, de sa vie, envieuse. La foule s’approche insidueusement, encercle et s’abat sur sa proie. Elle s’accroche à chaque cellule, intruse, use, déchiquete le corps. Le corps e vomit et se dilue dans l’air ambiant. On se sent comme un enfant, incapable de faire autre chose que minable.
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