Art triste d’un monde sous l’emprise du Surveillant du Transvivant. L’espace ne peut être vu que du fond de la mer. Est-ce passe de l’asprasse qui terrasse ? Harassé par la toutisation, l’espace-temps se déforme et le corps devient dé-corps. L’espace des abysses tire et glisse sur le temps qui vent et ment. Amende de l’amen inscrit du Surveillant du transvivant, il fait la pluie et le tout temps. Tempête où s’empêtre les morceaux de soi aux abois. Puzzle où les pièces manquantes hantent seules. Entre sol et ciel les manivelles tournent et détournent en ribambelles anarchiques. Malédiction, une caméra branchée sur le cerveau fait du temps un caniveau. Etroit et fluctuant à la fois, il déborde et dérobe à l’espace ce qui faisait de lui une base ; abrase l’espace-temps, l’asprasse terrasse en basse. Bac fissuré, les secondes se déforment sous les ondes du transvivant. Le temps subi nous met à la merci d’un espace, sans heures s’écoulant, qui terrasse. Le Surveillant du Transvivant tue le temps pour fuir les secrets des morts et des vivants. Il nous a constitué, en entier de lui on est né, et nous a, une mission, infligée. Comment éviter le piège de cet infernal manège ? Comment se réinscrire dans le temps sans pour autant se diluer dans le vent ? Vent de l’asprasse qui tue du temps l’espace.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire