Le corps-objet, abominable corps machine qui mâche les jets obséquieux du temps qui se fait poids. Point de liberté, tous les gestes et idées sont sous influence, ratatinés. Rater du rat qui n’agit qu’où ci-gît l’humanité envolée. Fils et branchements invisibles : le Surveillant du transvivant fait du corps un dé-corps à l’entrée codée. Ôde du soir n’est que déboires au hasard. Des yeux radars partout : être est ne pas être, Orwell dirait ‘’nonêtre’’. Les entrailles sont bouillies de chaire par les capteurs qui les truffent. Robot humanoïde comme druide de l’espace-temps perdu. Du paire, qui a cassé le carreau ? Il n’y a plus de fenêtre entre ‘’feu’’ et ‘’naître’’. La naissance devient la mort. Embranchements vivants, le robot se fait beau, mais derrière le masque, il n’y a qu’humanité dévastée. Pantin à l’heure où l’un se pend et se perd. Perpendiculaire, les architectes du rêve danse la valse triste. Illusion perdue, il y a de l’air plein la tête. Tétée vide, l’antimatière pulvérise les viscères. Serts-toi de ta tête pour démêler les morceaux de puzzle fondus ensembles ! Mais la tête est vide. Rien que des branchements mécaniques. La physique quantique fabrique de drôle de types ! Capter les ondes cosmiques : de grands radars, intrusant le cortex, rendent hagards et sans far. Phare mécanique qui tourne, gigantesque œil électronique. Des troubles étranges, l’asprasse terrasse dans un tour de passe-passe.
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