mardi 9 novembre 2010

ménage

Ménage dans l’âtre des âges met la nage en demie page. L’aspirateur hurle de son omniprésent sifflement à l’heure du leurre. L’erreur guette au coin des mirettes loin des endroits sécurisants ; bain de sang avant que ne coule la perle de sens à l’anse de la vie. Se perdre sans réussir à lier et relier le mystère des paires. Perdue dans le rue à vue du foyer St Joseph ; il a suffi d’un seul cri aspirant pour que l’inspirant foute le camp. Besoin, se calmant, de se retrouver de loin en près, pour construire un plancher. Plancher sur le fond à trouver aux tréfonds. Un fond pour se tenir hors de l’asprasse qui terrasse. Toutisation qui emporte de loin en près de l’être les sions.
Ecrire permet que cesse la déliaison, de retrouver du fond. Honte de n’être capable que de choses minables. Faire le ménage est déjà presque du surmenage, de la dilution dans les flaques serpillées, de l’aspiration par l’aspirateur des sions…

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