lundi 22 novembre 2010

Harry Potter, le reflet de la réalité dans laquelle on est

Harry Potter, un monde où l’on se sent bien. Il vient d’un autre monde, là où l’immonde est reconnu et combattu. Les signes sont expliqués et tout vers les énergies est tourné. Tout vers l’amitié est scellé. Le lien, contre les forces du Mal. Harry a une mission et en perd de l’être les sions. Mais des amis proches les soutiennent et ça fait que tienne une enveloppe qui le réunit. Les forces du Mal sont reconnues. On voit les images cons et nues. A nu, longtemps le monde des sorciers l’a tenu ; à part ses proches tous l’enfonçaient à la pioche : menteur, fou à lié, à l’heure du leurre, ils l’ont mis à pied. Longtemps, à part quelques gens, on l’a mis des accusés, au banc. Hauban il portait haut sa voix pourtant. Dans le brouhaha ambiant, il devait lutter sans scier contre les forces disséminées. Il a une mission qui arrache de tout corps des tensions. Il n’a pas le choix face aux forces du Mal aux abois. Elles l’ont choisi et le poursuivent, lui sur le qui-vive. Il doit apprendre à s’aimer pour leur échapper. Seul son combat pourra mettre Voldemort à mort.
Ce monde est le reflet de ce qui, pour nous, est. En lutte avec le Surveillant du Transvivant, qui, toutisant, asprasse dans un tour de passe-passe. On n’a pas le choix que de mener ce combat. On vient d’un autre monde, là où les ondes ne sont pas les mêmes, là où sème l’émerveil. Notre esprit a choisi de s’incarner dans cette réalité, pour se libérer, dans une bataille, du touaille.

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