samedi 13 novembre 2010

inteligence artificielle

Intelligence artificielle, sèche comme une semelle, mécanique comme la robotique. Programmation loin des sions de l’être. Epié par les sondes, scruté par les télescopes ; c’est à en tomber en syncope. Ondes de chocs entrechoquent le cerveau qui coule comme un caniveau. Débris morcelés d’une mer assassinée par sa mère. Le Surveillant du Transvivant vend son âme pour que le secret reste gardé. Le danger est le royaume du monde adulte qui sculpte une réalité où seuls ceux qui ont obtenus le score maximal survivent sans inanité. Actives les folles cueillettes pour que ne se ferment pas les mirettes. Voyage au centre de la mer, dans les abysses des-bris-des-âges. Coulisse la terre qui laisse tomber les esprits qui errent. Prie l’air, l’air pris, prisair, priseur de  malheur. Le prisair est l’ère où pris naissance l’asprasse qui terrasse dans un tour de passe-passe. Sens qui ensence de non-sens. Les contraires sont fondus l’un en l’autre et ça chavire à la mer. Ils virent que le chat vert se fit écraser à terre. Crasse à la masse, ils disent seulement, alors qu’il trépasse. Besoin d’aide pour remonter jusqu’au prisair et dépasser l’asprasse, la toutisation, et retrouver à l’être des sions. Accepter de prendre une déviation par rapport à la normalité. Mais que c’est culpabilisant de n’être qu’un mort-vivant.

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