Voyage en voiture faire la torture du corps au décors d’écartèlement. Elle ment cette voiture à la voix tonitruante, truande de la route tonique. La panique frôle les cellules qui scellent les mouvements inattendus, tendus sur la voie. Tenir le soi immobile, aux maux de la biles. L’île du corps se dilue dans le vent du mouvement, morceau de chaire mou qui mord le sceau de la route. Tordre l’ordre pour mordre la viande. Riante d’ironie qui nie le mal-être de l’hêtre de désêtre. Ça tremble le troumble, l’attente hante l’antre du corps, perfore la forclusion des sions de l’être. Envie d’être partie face au défi des dés de l’inertie, ennui angoissant qui coasse. L’asprasse terrasse dans un tour de passe-passe. Envie qui perd la vie ne laissant plus que l’an-mort. L’attente attente à la vie par le Surveillant du transvivant qui la hante.
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