Les idées tournent dans  la tête

Les idées tournent dans la tête, et le trouble tempête. Ça tremble troumble, tourbillon qui asprasse. Les dimensions énergétiques s’infiltrent du dehors, trop d’informations, au bord de l’inanition. On voit trouble, tout aboie sans code qui expliquerait l’ode. Chaque chose ose propulser ses énergies, chaque autre dimension énergétique claque au pourtour. La tour du soi tremble et vacille. Chaque lettre posée est un combat face à cet émiettement. Ecartèlement entre les différentes densités. On n’a pas droit de cité. Les énergies, de leur puissance, asprasse tout sens. Pourtant il faut rattraper le touaille de la toutisation.

Penser à écrire, penser aux ateliers qui pansent les maux.

Vidification qui vacille. Jeux de quilles. Partie d’arrachage des corps, des bris des âges. Besoin d’aide mais simple marionnette qui n’arrive pas à prononcer un mot. Maux de jalousie de ces pages, de ces écrits, où tout sages, les mots adagent. Quand l’angoisse pointe face au tour de passe-passe des énergies suintes, les gens posent qu’on a l’air d’aller bien. Loin du corps est-on peut-être pour que ça ne se voit pas sur la tête. Visage sage qui vit sa vie, loin du reste qui survit. Bizarre ce visage qui se marre alors que la tare asprasse au-dedans. Faon terrifié dans une réalité alitée au non-sens. Anse perdue, tout apparaît étranger, bien loin du voile du familier.